À propos du vidéogiciel : Burnout : Paradise

Fil des billets - Fil des commentaires

jeudi 9 septembre 2021

Burnout : Paradise | The Ultimate Box (PC)

C’est le deuxième Burnout auquel j’ai joué. J’ai peu accroché à celui-ci. En fait il est beaucoup moins fun et plus répétitif que le Revenge. On est cette fois dans un monde ouvert où chaque croisement est l’occasion de déclencher une course… Sauf que même si toute une ville est modélisée, j’ai eu l’impression de me fader constamment les mêmes tracés. Puis cette fois-ci on doit se fier à une carte pour déterminer le meilleur itinéraire, c’est-à-dire que dans une course on peut très bien partir dans une direction osef et s’éloigner de l’arrivée au lieu de s’en rapprocher. Je n’ai pas bien vu l’intérêt de cette difficulté supplémentaire…

J’ai trouvé la ville fade, les courses très très répétitives, trop nombreuses, trop semblables. Je n’ai pas retrouvé des modes rigolos de Revenge comme Panique dans le trafic, Crash, ou des actions comme les éliminations verticales ou les Crashbreakers. Les musiques aussi sont moins bien, je jouais seulement sur Girlfriend d’Avril Lavigne et quelques musiques classiques (Bach, Debussy). L’unité de lieu empêche la diversité des paysages de Revenge où on faisait la course autant sur des routes et des villages de montages que dans des grandes villes ou des ports.

On ne peut plus défoncer les voitures innocentes comme avant, à la place on se crashe dessus… Clairement pour moi Paradise manque beaucoup de fureur, de folie et de pyrotechnie. Et puis en terme de level design, c’est comme si les développeurs avaient modélisé une ville et son réseau de route, et avaient foutu par dessus 250 courses dans tous les sens, sans peaufiner le tracé de chacune d’elles. Ca fait très remplissage.

Je n’ai même pas testé les ajouts de l’ultimate box.

Verdict = dispensable